Voici la preuve irréfutable que La Fontaine et Mozart jouaient au ping pong ensemble mais c’était souvent Mozart qui gagnait. D’ailleurs, si Mozart jouait à Full Metal Planète, ce n’était pas par plaisir mais pour trouver l’inspiration :
Au départ, cette planète était prévue pour un beau match : 3 posages sur île à la mode "tullamorienne" et un posage "grand collecteur de minerai". Il était clair que la course au minerai ne durerait que 4 ou 5 tours et qu’ensuite il faudrait se départager sur la baston...
Mais... Mais... Crazy crabe, pas encore habitué aux nouvelles boites de vitesse automatique fit franchir une case de trop à sa pondeuse. ZeBeuZ qui passait par là... Non, bon, j’avoue : j’y suis allé exprès ! Donc ZebeuZ n’hésita pas un seul instant à sacrifier une vedette pour aller planter un suppositoire dans la bachi-pondeuse qui n’y survit pas.
Tandis que Crazy crabe pour se consoler vint me capturer la vedette, Midas trouva l’occasion trop belle de réduire en cendre la crazy-tourelle la plus proche de son astronef, celle à partir de laquelle proviendraient surement toutes les expéditions dangereuses du crabe.
Oui, mais voilà, un crabe ça marche en biais ! Le sang monta à la tête du crabe qui venait de perdre pondeuse et tourelle. Il partit donc de biais et d’une autre tourelle pour arriver dans les pots d’échappement du grand arbitre.
Celui-ci n’ayant pas eu le temps de ranger correctement ses destructeurs après le bon tour joué au pilote de la BBC vit donc deux de ses tourelles disparaître dans un mélange de dioxydes et de monoxydes de carbone...
Et number6 dans tout ça ? Et bien sur son île paradisiaque, telle la cigale, profitait du soleil, chantait et jouait de la guitare. Parfois, il se prenait à rêver d’être une fourmi et ramassait du minerai...
Mais la période des grandes marées, bien connue comme le signe précurseur de la fin de l’été, me permit de faufiler ma barge dans un canal de Suez qui venait d’apparaître.
Les âmes sensibles passent directement au paragraphe suivant. J’ai dit "arrêtez de lire ce paragraphe". Bon tanpis pour vous, je continue : la barge arrivée au pied de l’astronef de
crazy crabe, il ne restait plus qu’à poser le quatuor à percussion le plus célèbre pour ses mélopées de musique de chambre, je veux parler, vous les aviez reconnus, de MM. GéTé, charun, chardeux et ponton.
Et l’astronef de Crazy fut mien. Le temps de faire l’inventaire, d’avoir la bonne surprise d’y trouver les frères jumeaux de MM. GéTé et ponton et je constituais ainsi une fanfare de village qui monta assourdir les tympans de Midas d’un ou deux coups de canons : son astronef fut mien également au tour 12 !
Me voilà désormais à la tête d’un orchestre symphonique avec ses trois de GT, barges et astronefs...
Hé, Number6 ! La bise est venue... Niek niek niek